Ou "Journée héroique du jeune KaillouX".
C'est l'histoire d'un tauren engagé dans une guerre qu'il ne comprend pas trop, qui broutait en arrière du champ de batailles en attendant les ordres.
8:01, heure du tigre
Une ombre trollesque se pencha sur son coin de gazon :
"_Recrue KaillouX voici pour toi venu le temp de monter au front, montre leur ce que tu sais faire.
_T'aurais pas 100 balles ?
_Non.
_J'aurai essayé.
_Prend cette fronde.
_C'est mieux que rien."
8:02, heure de la chouette
Après cette épique discussion, le Tauren armé de sa lance fétiche dans la main gauche et de son seul parchemin dans la main droite se jette dans la bataille.
Un gargouillis infâme lui monte aux oreilles, alors que le corps décharné et pourri d'un mort vivant se dresse devant lui , son sang ne fait qu'un tour et sa masse d'arme dix de plus :
" *paf* *pif* *CRAAAACK* (...) "
10:04, heure locale
Kailloux, après s'être confondu en excuses auprès du zombi Jean Pierre pour ne pas l'avoir reconnu en tant qu'allié, s'enfonce un peu plus dans les lignes ennemies son arbalète en bandoulière ...
Enfin ! Un adversaire à sa taille ! Du haut de ses deux mètres quinze le tauren fixe son ennemi et serre plus fort la poignée de sa grande hache...
L'orc barbouillé de peintures de guerre ne peut que subir le puissant guerrier en devenir, habilement planqu.. placé en haut de sa colline et lui balançant épiquement les flamêches et autres boules de feu que contenait son parchemin...
18:57, heure de la bouffe
"_Dites, n'en faites pas trop quand même Mr KaillouX, c'est bien la sixième fois aujourd'hui que mes sorts de soin vous sauvent la mise.
_Gna faute gna cet empafé fe magus zombefque ki m'a fris four cible... vl'ai pas vu venir vu qu'il était fe notre côté. FauDRAIt vOIR à paS PREnDRE les eNfANTS du BOn dIEU POuR dES CanARDS SAUVAGES !", s'écrie le tauren profondemment écoeuré qu'on puisse s'être fourvoyé de la sorte.
18:57:59' heure du tigre
A fin de la journée PAF il s'endort.
bon si j'avais eu plus de temps j'aurai tout raconté de manière plus épique encore (voir moins c...) mais là il se fait un peu tard et mon cerveau pique.
(...)
purée la fin craint vraiment